Vers le sommet de la colline, la vallée s’élargit en une sorte de cirque entouré de versants abrupts.
J’y ai créé, au pied d’une falaise habillée de cactées et plantes grasses, un petit étang alimenté de manière naturelle par une source providentielle. Ce point d’eau en pleine nature, avec ses nymphéas et ses lotus, est devenu le repère de toute la faune sauvage de la presqu’île qui vient s’y abreuver en été.
Les deux autres versants ont été dédiés à des plantes succulentes de plus grand développement, des Trichocereus,des Yuccas, des Xanthorroeas,des Nolinas, des Furcreas ,et aussi plusieurs variétés et hybrides d’Aloidendrons, ces grands Aloès en arbres.